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Création : 04/06/2009 à 13:36 Mise à jour : 30/11/2022 à 04:33

Le chant de la Sibylle de Majorque Cathédrale de Majorque Palma


Cette tradition a été inscrite au Patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Le chant (dont les origines remontent aux représentations données à l'occasion des célébrations liturgiques de l'Europe médiévale) est interprété la nuit du 24 décembre dans toutes les églises de l'île de Majorque et constitue un véritable spectacle digne d'admiration.
Le chanteur est un jeune garçon (sans accompagnement musical, sauf quelques notes d'orgue), accompagné par au moins deux enfants de ch½ur. Cependant, des personnes de toutes les générations participent à ce rite, afin d'en garantir la transmission. Cette tradition constitue un exemple vivant de folklore religieux médiéval.
 
Le chant de la Sibylle de Majorque Cathédrale de Majorque Palma
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#Posté le samedi 19 octobre 2019 10:26

Exposition MIRO de sculptures la Muse blanche du 27/09/2019 au 15/03/2020

Le musée national de la sculpture présente sur son site de Casa del Sol un ensemble de 30 sculptures de Joan Miró, réalisées en plâtre pour leur fonte ultérieure en bronze, de véritables petits « chefs-d'½uvre ».
La plupart des modèles en plâtre réunis sont exposés pour la première fois en public ; auparavant ils étaient conservés dans son atelier ou se trouvaient dans différentes fonderies. Ces pièces couvrent une longue période de l'activité plastique de Miró, de ses ½uvres initiales à celles produites un an avant sa mort. Ces plâtres, malgré leur rôle secondaire dans le processus de création, constituent un matériel précieux qui aide à visualiser le développement de l'½uvre. Leur sentiment et leur beauté mystérieuse en font de véritables petits « chefs-d'½uvre ».
Les pièces sont exposées à la Casa del Sol, qui héberge des plâtres centenaires et des reproductions d'½uvres grecques et romaines de très grande qualité. Ainsi, les déesses, vénus et faunes classiques sont associés aux volumes et courbes poétiques des représentations imaginaires de Miró, mettant en avant les similitudes et contrastes propres à l'histoire de la sculpture.
 
Généralités
Dates
Du 27 sept. 2019 au 15 mars 2020
Thème
Sculpture
Catégorie
Exposition



Localisation et contact
Lieu de célébration
Musée national de la sculpture

C/ Cadenas de San Gregorio 1, 2, 3
47011 Valladolid
Valladolid, Castille-León
Téléphone  +34 983250375
+34 983254083
Fax  +34 983259300
Courrier électronique  museoescultura@mecd.es
Site Web  http://museoescultura.mcu.es/
Données de contact
Téléphone  +34 983250375
+34 983254083
Fax  +34 983259300
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#Posté le samedi 19 octobre 2019 10:22

Controverse.La nationalité espagnole aux Séfarades : une démarche antisémite ?

Controverse.La nationalité espagnole aux Séfarades : une démarche antisémite ?Controverse.La nationalité espagnole aux Séfarades : une démarche antisémite ? 

AGUILAR 

 
Le gouvernement espagnol souhaite donner un passeport aux descendants des Juifs expulsés de la péninsule en 1492. Une proposition attaquée par certains Israéliens.







OUI • Pas un mot de regret
—Guy Bechor—Ynetnews Tel-Aviv
La décision du gouvernement espagnol d'accorder la nationalité aux descendants de Juifs expulsés relève ni plus ni moins de l'antisémitisme. L'Espagne doit abandonner cette proposition si elle veut sauver son honneur.
Petit rappel historique : en 1492, le roi Ferdinand et la reine Isabelle signent un édit plaçant près de 700 000 Juifs espagnols face à un cruel dilemme, se convertir au catholicisme ou partir. Une vaste majorité choisit alors de quitter le pays, sans biens et sans avenir. La décision royale n'avait rien à voir avec les Juifs, mais seulement avec l'Espagne, ses intérêts et ses humeurs.


L'histoire se répète aujourd'hui. On ne trouve nulle trace de regret ni de volonté de dédommagement dans la décision prise par Madrid. Les Juifs ne sont que des pions sur l'échiquier national, un peuple sans nom et sans identité, placé sous la férule espagnole.
Cette initiative est le fruit d'un sentiment antisémite classique selon lequel les Juifs sont les puissants aux commandes de ce monde – ou au moins de l'économie mondiale – et qu'il faut donc les attirer pour sauver l'économie malade de l'Espagne. Ce pays semble toutefois oublier que quelque chose a changé depuis le XVe siècle : les Juifs possèdent une nationalité, l'Etat d'Israël existe, l'Etat du peuple juif. Les Juifs ne sont plus ce peuple errant, expulsable sur les caprices d'un roi. Ils sont une nation et ils ont une patrie, et ce n'est sûrement pas l'Espagne, un pays qui refuse encore aujourd'hui de regarder en face son passé antisémite.
Près de 10 000 Juifs sont morts sur un bûcher espagnol, condamnés pour divers motifs. Sans compter les persécutions des conversions forcées. Les “Anusim”, ces malheureux Juifs contraints de se convertir, ont été persécutés pendant des siècles en Espagne et au Portugal. Mis à l'épreuve, ils devaient manger du porc sous l'½il de chrétiens, cracher sur les Saintes Ecritures, et n'oublions pas les horreurs de l'Inquisition. La stigmatisation, la torture, les massacres. Rien n'est oublié.
Une mesure favorable aux Juifs ? Il suffit de rappeler que l'actuel gouvernement espagnol soutient financièrement plusieurs organisations de boycott anti-Israël qui contestent l'existence de l'Etat hébreu. Le gouvernement espagnol est l'un des principaux soutiens de la lutte contre Israël que certains mènent au nom des “droits de l'homme”.
Et, alors qu'elle n'a toujours pas accepté de se confronter aux heures sombres de son passé antisémite, voilà que l'Espagne prêche la parole des droits de l'homme. Au plus grave de la crise économique, ils trouvent encore des moyens pour combattre Israël. L'opinion publique espagnole doit savoir à quoi sert cet argent. En occultant l'existence même d'une nationalité israélienne, la proposition espagnole se révèle une odieuse démarche antisémite.
Et les musulmans alors ? Les descendants de musulmans expulsés d'Espagne, les Morisques, d'abord convertis de force puis expulsés en 1609, s'indignent à juste titre de la décision espagnole. Pourquoi ne leur offre-t-on pas la nationalité à eux aussi ? Peut-être suffit-il de dire que les descendants des Morisques représentent au moins 10 millions d'Arabes qui devraient eux aussi “retourner” vivre en Espagne.
Au bout du compte, le gouvernement espagnol croit-il réellement pouvoir faire “retourner” le moindre Juif en Espagne ? Dans un pays à l'économie brisée où le taux de chômage atteint les 30 % et que 0,5 million d'habitants quittent chaque année, remplacés par 0,5 million de musulmans ? Il n'obtiendra au mieux que des demandes de passeport européen venues de loin.
Chers successeurs de Ferdinand et Isabelle, nous ne sommes plus en 1492 et vous-mêmes luttez à présent pour votre existence. C'en est fini de votre domination. Laissez-nous tranquilles.
 
 
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#Posté le mercredi 18 septembre 2019 16:50

Descendant de Juifs expulsés en 1492 ? Découvrez si vous pouvez devenir espagnol L'Espagne vient de publier une liste de 5200 noms de famille éligibles à la nationalité espagnole, en compensation de l'expulsion de 300.000 juifs en 1492.

Une sculpture de Samuel Halevi Abulafia près du musée séfarade et de la synagogue de Tolède, en Espagne.Crédit : GERARD JULIEN / AFP

https://www.atlantico.fr/pepite/1019056/descendant-de-juifs-expulses--decouvrez-si-vous-pouvez-devenir-espagnol
Descendant de Juifs expulsés en 1492 ? Découvrez si vous pouvez devenir espagnol L'Espagne vient de publier une liste de 5200 noms de famille éligibles à la nationalité espagnole, en compensation de l'expulsion de 300.000 juifs en 1492.
 

 



Vu sur : Lu sur SDPnoticias
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#Posté le mercredi 18 septembre 2019 16:34

Espagne : L'obtention de la nationalité espagnole facilitée pour les Juifs séfarades de plus de 70 ans

 
 
Par La Rédaction@8e_etageMar 08, 2017Pas de commentaires

 En juin 2015, l'Espagne votait une loi visant à faciliter la naturalisation des descendants des Juifs séfarades. À l'époque, le gouvernement estimait que jusqu'à près de 3,5 millions de personnes pourraient théoriquement bénéficier de ces nouvelles dispositions. Presque deux ans plus tard, ils ne sont que 4919 à avoir sauté le pas. Afin de tenter de corriger le tir, le ministère de la Justice espagnol vient d'annoncer que les Séfarades de plus de 70 ans seront désormais exemptés des examens de langue espagnole et de connaissances constitutionnelles et socioculturelles (CCSE) dans le cadre d'une procédure de naturalisation.


la loi facilitant la naturalisation des descendants des Juifs séfarades, introduite en 2012 mais seulement votée en juin 2015, est loin d'avoir connu le succès que lui prédisait le gouvernement espagnol. En effet, presque deux ans plus tard, on ne dénombre que 4919 naturalisations — dont 4302 par décret le lendemain du vote. Un chiffre somme toute très modeste, surtout lorsque l'on sait qu'en théorie cela aurait pu concerner jusqu'à 3,5 millions de personnes.
Pour essayer de corriger le tir, le ministère de la Justice vient d'annoncer que les Séfarades de plus de 70 ans se verront désormais exemptés des examens de langue espagnole et de connaissances constitutionnelles et socioculturelles (CCSE) dans le cadre d'une procédure de naturalisation, comme le rapporte El País. Une décision bien accueillie dans les communautés séfarades, explique le quotidien espagnol. « Nous ne sommes plus une communauté très jeune », commente ainsi Karen Gerson Sharon, la coordinatrice du Centre séfarade d'Istanbul, en Turquie, qui regroupe près de 15 000 descendants de juifs expulsés d'Espagne au XVe siècle. Elle se dit « très heureuse » que les examens aient été supprimés pour les plus de 70 ans, mais estime qu'il serait « encore beaucoup mieux » que la limite d'âge soit maintenant abaissée à 65 ans.
Selon le ministère de la Justice espagnol, le nombre de naturalisations devrait quoiqu'il arrive augmenter au cours des prochains mois. 1897 personnes auraient en effet déjà obtenu leur diplôme de langue espagnole (DELE) et 6127 auraient réussi le test de connaissances constitutionnelles et socioculturelles (CCSE) — tout deux délivrés par l'Instituto Cervantes (NDLR, équivalent espagnol de notre Institut français). Dans leurs rangs se trouvent des candidats de plus de 100 nationalités différentes, dont une majorité originaire de douze pays ibéro-américains, mais aussi du Maroc, de la Turquie, des États-Unis et du Pakistan.
Pour rappel, la diaspora séfarade est constituée des descendants des dizaines de milliers de juifs d'Espagne expulsés du pays au XVe siècle à la suite de la signature du décret de l'Alhambra par Isabelle la Catholique. Accusés d'essayer de détourner les chrétiens de la seule vraie foi, et ce malgré des centaines d'années de coexistence le plus souvent pacifique avec les adeptes d'autres religions du livre, ils s'étaient vus placés face à un choix binaire : la conversion forcée ou l'exil définitif (sous peine de mort). Si un certain nombre ont opté pour la première option, devenant ainsi des « conversos » (convertis) ou plus vulgairement des « marranos » (ce qui peut se traduire par porcs en espagnol, en référence à l'interdiction de consommer la viande de cet animal dans la religion juive), beaucoup ont préféré prendre la route pour des destinations aussi diverses que l'Afrique du Nord, les Balkans, l'Empire ottoman, l'Italie ou encore le Portugal.
Il aura fallu attendre plus de 500 ans pour que l'Espagne ne donne à leurs descendants — dont une partie continue de parler une langue proche du castillan du XVIe siècle — une chance de retourner s'installer sur la terre de leurs ancêtres et d'obtenir la nationalité espagnole. Le texte de loi voté en 2015 vise à corriger ce que le gouvernement espagnol lui-même qualifie d'« erreur historique ».
 
Espagne : L’obtention de la nationalité espagnole facilitée pour les Juifs séfarades de plus de 70 ans
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#Posté le mercredi 18 septembre 2019 16:27

Résultat de recherche d'images pour "nationalité espagnole des juifs sépharades" C'est ainsi que la loi relative à l'octroi de la nationalité espagnole pour les juifs sépharades a été élaborée et adoptée le 10 juin 2015, offrant ainsi la possibilité d'acquérir la nationalité espagnole à toute personne susceptible de prouver son appartenance à la communauté sépharade.16 oct. 2015

Résultat de recherche d'images pour "nationalité espagnole des juifs sépharades" C'est ainsi que la loi relative à l'octroi de la nationalité espagnole pour les juifs sépharades a été élaborée et adoptée le 10 juin 2015, offrant ainsi la possibilité d'acquérir la nationalité espagnole à toute personne susceptible de prouver son appartenance à la communauté sépharade.16 oct. 2015
 
https://www.abitbol-associes.com/fr/obtenir-la-nationalite-espagnole-pour-les-juifs-sepharades/
 
 
L'année 1492 a été marquée en Espagne par une fuite massive des membres de la communauté juive, contraints par la Royauté de choisir entre exode ou conversion catholique.
Plus de cinq siècles après le décret d'expulsion, le Ministre Espagnol de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardon, estimant devoir régler « la dette » de l'Etat Espagnol envers les juifs sépharades, a impulsé le projet de naturalisation des séfarades étrangers.

C'est ainsi que la loi relative à l'octroi de la nationalité espagnole pour les juifs sépharades a été élaborée et adoptée le 10 juin 2015, offrant ainsi la possibilité d'acquérir la nationalité espagnole à toute personne susceptible de prouver son appartenance à la communauté sépharade.
L'avantage est alors réel, puisqu'il présente la particularité de pouvoir bénéficier d'une bi-nationalité très rare en Espagne. L'acceptation de la nationalité espagnole suppose en effet en préalable une renonciation parallèle par le demandeur à sa nationalité d'origine, hormis certains cas spécifiques réservés aux ressortissants d'anciennes colonies espagnoles. Toutefois, les origines sépharades sont désormais considérées comme des « circonstances exceptionnelles en lien avec l'Espagne » susceptibles de justifier l'octroi d'un tel privilège et souvent jugées discriminatoires par les opposants à ce projet.
Depuis début octobre 2015, il est à noter que la mise en place de la procédure requiert de fournir un certain nombre de documents qui devront alors être joints à la demande en vue d'apporter la preuve de l'appartenance à la communauté sépharade, notamment un certificat prodigué par un rabbin ou par le représentant d'une communauté juive. A celui-ci devront être joints un acte de naissance, un extrait de casier judiciaire et une photocopie du passeport du demandeur, toutes ces pièces devant être traduites en espagnol et apostillées.
Ces documents devront par la suite être soumis à la Fédération Juive d'Espagne en vue d'obtenir le certificat d'origine sépharade, nécessaire, contre paiement d'une taxe d'environ 50 euros. Ils devront ensuite être déposés sur une plateforme en ligne prévue par le Gouvernement espagnol, moyennant le paiement d'une taxe de 100 euros pour ouverture du dossier. Dans certains cas, il se peut également qu'un entretien sur le territoire espagnol avec un notaire local soit imposé au demandeur.
Les formalités administratives ne sont pas les seules conditions requises pour pouvoir bénéficier de la nationalité espagnole dans le cas spécifique des communautés juives sépharades. En effet, un lien suffisant avec la communauté espagnole doit être établi, et des examens de langue et de culture hispaniques devront ainsi être passés avec succès. La loi exige en effet la preuve d'attaches suffisantes avec la société espagnole pour pouvoir prétendre à la naturalisation. Les modalités de ces examens n'ont pas encore fait l'objet d'une description précise de la part du Gouvernement espagnol, mais il semble ressortir, notamment des centres d'examen tels que l'Institut Cervantès, que le niveau d'exigence ne sera pas difficile à satisfaire.
En cas de succès, il ne restera plus au demandeur qu'à prêter serment, en Espagne ou devant le Consulat ou l'Ambassade de son Etat d'origine.
Les efforts du Gouvernement espagnol sont donc nombreux pour réparer les erreurs de l'Histoire, et offrent ainsi aux natifs sépharades, et notamment israéliens, des opportunités économiques non négligeables.
 



C'est dans ce contexte que le cabinet se propose d'accompagner les demandeurs à la nationalité espagnole résidant en France, en Israël ou partout ailleurs dans le monde, afin de préparer et déposer l'ensemble des documents requis. Notre relais en Espagne auprès d'un cabinet d'avocats expert en ce domaine ainsi qu'une étude de Notaire nous permet un suivi constant du dossier jusqu'à l'obtention de la nationalité. Le cabinet compte également à cet effet dans son équipe un avocat of Council espagnol afin de répondre à toutes les exigences procédurales fixées par les articles 21 et 23 du code civil espagnol.




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#Posté le mercredi 18 septembre 2019 16:24

https://leymemoria.mjusticia.gob.es/cs/Satellite/LeyMemoria/fr/concesion-nacionalidad/descendientes-espanoles

 
https://leymemoria.mjusticia.gob.es/cs/Satellite/LeyMemoria/fr/concesion-nacionalidad/descendientes-espanoles
                                                                       Ministère des affaires étrangères madrid


 Octroi de la nationalité espagnole Aux descendants d'EspagnolsAux descendants d'Espagnols

La loi 52/2007, connue sous le nom de « loi sur la Mémoire historique », reconnaît qu'une injustice a été commise suite à l'exil de nombreux Espagnols pendant la Guerre civile espagnole et la dictature franquiste.
Par conséquent, la loi susmentionnée, dans sa septième disposition additionnelle, prévoit l'acquisition par option de la nationalité espagnole d'origine pour les personnes dont le père ou la mère était espagnol(e) et pour les petits-enfants de ceux et celles qui ont perdu ou ont dû renoncer à la nationalité espagnole suite à l'exil.
DEMANDE DE NATIONALITÉ
Il ya 3 types de demandes de nationalité espagnole d'origine :
Les personnes dont le père ou la mère était espagnol(e) à l'origineLa loi espagnole permettait déjà aux personnes dont le père ou la mère, né(e) en Espagne, était espagnol(e) à l'origine, d'opter pour la nationalité espagnole.
La loi sur la Mémoire historique élargit la possibilité d'acquérir la nationalité espagnole d'origine en y incluant les enfants d'un père ou d'une mère espagnol(e) d'origine qui ne serait pas né(e) en Espagne.
Documents que doivent présenter les intéressés:
La demande, présentée dans le FORMULAIRE I,, qui peut être téléchargé sur ce site. Vous pouvez également vous procurer ce formulaire auprès de l'Ambassade ou du Consulat général d'Espagne le plus proche de votre domicile.Copie intégrale de l'acte de naissance de l'intéressé,délivrée par un service d'état civil local à l'étranger, légalisée ou apostillée si nécessaire. Le service d'état civil étranger devra vous informer sur les procédures de légalisation et sur les apostilles.Copie intégrale de l'acte de naissance du père ou de la mère, espagnol(e) à l'origine, de l'intéressé. Cette copie devra émaner d'un service d'état civil espagnol, qu'il soit consulaire ou municipal, ou d'un service d'état civil étranger.Les petits-enfants de celles et ceux qui ont perdu ou ont dû renoncer à la nationalité espagnole suite à l'exilCela concerne les personnes dont le père ou la mère est né(e) après que le grand-père ou la grand-mère exilé(e) a perdu la nationalité espagnole. Leur ascendant espagnol le plus proche est donc un grand-parent.
Il n'est pas nécessaire que le grand-père ou la grand-mère espagnol(e) l'ait été à origine.
Documents que doivent présenter les intéressés
La demande, présentée dans le FORMULAIRE II, qui peut être téléchargé sur ce site. Vous pouvez également vous procurer ce formulaire auprès de l'Ambassade ou du Consulat général d'Espagne le plus proche de votre domicile.Copie intégrale de l'acte de naissance de l'intéressé, délivrée par un service d'état civil local à l'étranger, légalisée ou apostillée si nécessaire. Le service d'état civil étranger devra vous informer sur les procédures de légalisation et sur les apostilles.Copie intégrale de l'acte de naissance du père ou de la mère - descendant(e) du grand-père ou de la grand-mère espagnol(e) correspondant - de l'intéressé,délivrée par un service d'état civil consulaire ou un service d'état civil étranger. Dans ce dernier cas, la copie de l'acte devra être légalisée ou apostillée le cas échéant. Le service d'état civil étranger devra vous informer sur les procédures de légalisation et sur les apostilles. En cas de naissance antérieure à 1870, un acte de baptême espagnol pourra être présenté.Cet acte vise uniquement à établir le lien de parenté entre le père ou la mère et le grand-père ou la grand-mère.
Copie intégrale de l'acte de naissance du grand-père ou de la grand-mère espagnol(e) de l'intéressé, délivrée par un service d'état civil municipal situé en Espagne. Comme dans le cas précédent, un acte de baptême espagnol pourra être présenté en cas de naissance antérieure à 1870.Documents prouvant la condition d'exilé du grand-père ou de la grand-mère. Pour démontrer la condition d'exilé du grand-père ou de la grand-mère de l'intéressé, la loi prévoit 3 types de documents.Documents attestant que le grand-père ou la grand-mère en question a bénéficié des pensions versées aux exilés par l'administration espagnole, ces documents devant prouver l'exil directement et exclusivement..Documents prouvant la condition d'exilé accompagnés de documents prouvant la sortie d'Espagne ou l'entrée ou le séjour stable dans un autre État :La condition d'exilé pourra être prouvée par les documents suivants :Documents de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés et des offices de réfugiés des États d'accueil qui ont prêté secours aux réfugiés espagnols et à leur famille.Certificats ou rapports délivrés par des partis politiques, des syndicats ou toute autre organisation ou institution, publique ou privée, dûment agréée par les autorités espagnoles ou de l'État d'accueil des exilés, qui ont un lien avec l'exil. Ces certificats ou rapports devront se rapporter irréfutablement aux fonds documentaires ou aux archives historiques de l'organisme en question.L'expatriation, la sortie d'Espagne ou le séjour dans un autre État pourra être prouvé par les documents suivants :Passeport ou titre de voyage muni du cachet d'entrée dans le pays d'accueil.Certificat d'immatriculation de l'ambassade d'Espagne ou d'un consulat espagnol.Actes de l'état civil consulaire prouvant la résidence dans le pays d'accueil, comme les actes de mariage, les actes de naissance des enfants, les actes de décès, etc.Acte de l'état civil local du pays d'accueil prouvant que l'intéressé a acquis la nationalité du pays en question.Documents officiels d'époque du pays d'accueil prouvant l'année d'entrée dans ce pays ou l'entrée dans ce pays par tout moyen de transport.La condition d'exilé de tous les Espagnols qui sont sortis d'Espagne entre le 18 juillet 1936 et le 31 décembre 1955 sera présumée. La sortie d'Espagne pourra être prouvée par l'un des documents susmentionnés.Les personnes qui ont déjà opté pour la nationalité espagnole non d'origineLes personnes qui ont déjà acquis la nationalité espagnole par option étant donné que leur père ou leur mère, né(e) en Espagne, était espagnol(e) à l'origine, conformément à l'article 20.1 b) du Code civil, peuvent dorénavant opter aussi pour la nationalité espagnole d'origine.
Documents que doivent présenter les intéressés
Les intéressés doivent uniquement présenter la demande; celle-ci sera complétée dans le FORMULAIRE III qui peut être téléchargé sur ce site. Vous pouvez également vous procurer ce formulaire auprès de l'Ambassade ou du Consulat général d'Espagne le plus proche de votre domicile. .
PRÉSENTATION DE LA DEMANDE ET DÉLAIS
Les intéressés devront imprimer et compléter deux copies du formulaire de demande correspondant à l'un des cas de figure présentés ci-dessus. Ce formulaire et les documents requis, le cas échéant, seront déposés auprès du Service d'état civil espagnol, consulaire ou municipal, correspondant au domicile de l'intéressé. Une copie certifiée leur sera délivrée à titre de justificatif.
Si les conditions requises au moment de la demande de nationalité ne sont pas réunies, l'intéressé sera tenu de présenter les documents demandés dans un délai de trente jours civils à compte de la date où cette présentation lui est réclamée.
Suite à l'accord du Conseil des Ministres du 22 Janvier 2010 (BOE n° 72 du 24.03.2010), qui a prorogé d'un an le délai initial, la demande peut être soumise jusqu'à Décembre 27 mai 2011.
RECOURS
Au cas où l'officier d'état civil refuserait d'accorder la nationalité espagnole d'origine par option au motif que les conditions requises par la loi ne sont pas réunies, une notification officielle de cette décision de refus sera envoyée à l'intéressé afin de lui permettre de déposer le recours correspondant auprès de la Direction générale des registres et du notariat du ministère de la Justice : Plaza Jacinto Benavente, nº 3 - 28071 Madrid.
Le recours pourra être également déposé auprès des représentations diplomatiques ou des postes consulaires espagnols à l'étranger.


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#Posté le mercredi 18 septembre 2019 16:19

ESPAGNE Début d'incident diplomatique entre l'Espagne et le Vatican, sur fond d'exhumation de Franco

ESPAGNE Début d’incident diplomatique entre l’Espagne et le Vatican, sur fond d’exhumation de Franco
Le roi Juan Carlos (à gauche) et le nonce apostolique d'Espagne, Renzo Fratini (à droite), lors de la réception annuelle du corps diplomatique, à Madrid, le 5 février 2014. JUAN CARLOS ROJAS / AFP
 
 
A deux jours de prendre sa retraite, le nonce apostolique en Espagne, Renzo Fratini, a provoqué un début d'incident diplomatique entre l'Espagne et le Vatican. Au point que l'ambassadrice d'Espagne près le Saint-Siège, Carmen Peña, a émis une plainte formelle au Vatican, jeudi 4 juillet, lors d'une réunion avec le secrétaire pour les relations avec les Etats, Mgr Paul Gallagher.
A 75 ans, et après dix ans comme « ambassadeur du pape » en Espagne, M. Fratini a accusé le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez de « ressusciter Franco » en voulant l'exhumer de son mausolée-monument de Valle de los Caidos, à 50 kilomètres de Madrid.
« Sincèrement, il y a tant de problèmes dans le monde et en Espagne. Pourquoi ressusciter Franco ?, a affirmé le nonce italien le 30 juin à l'agence Europa Press. Il valait mieux le laisser en paix. Il a fait ce qu'il a fait. Dieu le jugera. Cela n'aide pas à mieux vivre que de rappeler quelque chose qui a provoqué une guerre civile. »
« Franco, certains l'appellent dictateur, d'autres disent qu'il a libéré l'Espagne d'une guerre civile. »
Ses critiques à la politique de mémoire entreprise par les socialistes sont allées jusqu'à assurer que « certains veulent de nouveau diviser l'Espagne », avant d'ajouter que « Franco, certains l'appellent dictateur, d'autres disent qu'il a libéré l'Espagne d'une guerre civile et résolu un problème : ne continuons pas à nous battre sur s'il avait raison ou tort ». Enfin, il a souligné que si l'objectif était d'éviter l'apologie du dictateur, c'était un échec : « Les visites ont augmenté, le problème est revenu, alors que beaucoup de gens ne savaient pas où se trouvait le Valle de los Caidos. »
 
L'Espagne proteste auprès du Vatican après des propos controversés du nonce apostolique en Espagne, Renzo Fratini, sur l'ancien dictateur Franco.
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#Posté le mercredi 18 septembre 2019 16:06

L'île des Faisans, le mini-royaume des vice-rois d'Espagne et de France Sur la Bidassoa, au Pays basque, ce lopin de terre est dirigé par un vice-roi espagnol du 1er février au 31 juillet et par son homologue français du 1er août au 31 janvier. Une souveraineté alternée et unique au monde. Publié le 02 août 2019 à 03h48

L’île des Faisans, le mini-royaume des vice-rois d’Espagne et de France Sur la Bidassoa, au Pays basque, ce lopin de terre est dirigé par un vice-roi espagnol du 1er février au 31 juillet et par son homologue français du 1er août au 31 janvier. Une souveraineté alternée et unique au monde.  Publié le 02 août 2019 à 03h48
 
 
L'île des Faisans, d'une superficie de 3 000 mètres carrés, est située à 50 mètres des rives d'Hendaye et d'Irun. ZARATEMAN
C'est une touffe verte que l'on aperçoit depuis le Pont international qui relie la France et l'Espagne. Au milieu de la Bidassoa, fleuve du Pays basque qui sert de frontière naturelle avant de se jeter dans le golfe de Gascogne, émerge l'île des Faisans. Situé à quelque cinquante mètres de chaque rive, ce lopin de terre de trois mille mètres carrés est très facilement observable.
Mais à part des arbres feuillus, de l'herbe bien tondue et une stèle en pierre, il n'y a pas grand-chose à voir ni à faire. En son temps, Victor Hugo fut le premier déçu de sa visite. « Il n'y a pas de faisans dans l'île des Faisans, qui n'est qu'une façon de plateau vert. Une vache et trois canards représentent les faisans ; comparses loués sans doute pour faire ce rôle à la satisfaction des passants », prévenait l'écrivain en retraçant son périple de Bayonne à Saint-Sébastien.
« C'est anachronique, on se croirait dans “Secrets d'histoire” avec Stéphane Bern » Christophe Merit, vice-roi de France
Ce terrain a pourtant une particularité : c'est le plus petit condominium du monde. Depuis le traité de Bayonne en 1856, la France et l'Espagne exercent une souveraineté conjointe sur ce territoire. Une sorte de garde alternée pendant six mois de l'année, elle aussi unique au monde. Depuis le 1er août, c'est à l'administration tricolore d'en assurer la gestion. Plus précisément au vice-roi français de l'île des Faisans.

Car non, la France n'en a pas tout à fait fini avec la royauté. Christophe Merit, 47 ans, est le dernier représentant officiel. Ce membre de la marine est aujourd'hui directeur adjoint, délégué à la mer et au littoral des Pyrénées-Atlantiques. Un poste d'administration a priori ordinaire mais qui contient « une petite pépite dans son packaging », comme le dit le principal intéressé. C'est la fonction de vice-roi, mentionnée en toutes lettres dans la fiche de l'emploi publiée dans le Journal officiel de la République française du 20 juillet 2017. « C'est anachronique, déclare en souriant le délégué, qui assure ne pas se vanter de ce titre dans la vie de tous les jours. On se croirait dans “Secrets d'histoire” avec Stéphane Bern. »
Le titre a fait rêver sa petite-fille
A ses débuts, il a été surpris de l'accueil des habitants d'Hendaye (Pyrénées-Atlantiques). « Certains étaient assez déférents, raconte Christophe Merit. Ils attendent beaucoup du vice-roi, notamment qu'il les défende face aux intérêts espagnols. Pour eux, le vice-roi est un élément de stabilité et ils font perdurer ce système un peu féodal. » Le titre a surtout fait rêver sa petite-fille. « Cela veut dire que je serai vice-princesse ? » lui avait-elle naïvement demandé.
En réalité, le rôle administratif du commandant naval de la région n'a presque rien d'une épopée chevaleresque. « Les vice-rois ont des fonctions administratives sur toute la longueur du fleuve navigable et sur l'estuaire, détaille Jean-Paul Pancracio, professeur émérite spécialiste en droit de la mer et en droit international. Ils sont en charge de la gestion des mouillages, ce qui concerne quelque 500 navires, de plaisance pour l'essentiel. »
Néanmoins, « les fonctions administratives sont assez extraordinaires parce que le vice-roi a un pouvoir législatif et exécutif, explique Boris Solin, commandant de la marine (Comar) à Bayonne de 2011 à 2013, et à ce titre vice-roi de l'île pendant la période. Il édicte les règlements dans la zone de la Bidassoa, notamment les normes qui concernent la pêche. Et en même temps, il a les moyens de faire régner l'ordre. » Ce sont, par exemple, les vice-rois qui ont rédigé l'ordonnance interdisant l'accès de l'île au public.
En voiture blindée
Finalement, si cette tradition de plus de cent soixante-trois ans survit dans le Pays basque français, c'est surtout par imitation de la partie espagnole. « On s'appelle vice-roi par effet miroir à notre homologue de Saint-Sébastien qui, lui, est bien vice-roi de son roi, s'amuse Boris Solin. En France, on est vice-roi d'un président. » Les risques ne sont pas les mêmes non plus puisque Isidoro Junguito, commandant de la marine à Saint-Sébastien et vice-roi espagnol de l'île des Faisans, se déplace en voiture blindée. Dans une région où la pression indépendantiste est forte, tout représentant du pouvoir madrilène est assez mal vu. Le sujet est donc pris plus au sérieux.
En 2012, c'était « pour le panache » que Boris Solin a souhaité organiser une cérémonie officielle lors de la passation. Traditionnellement, elle se fait simplement par échange de courrier. « C'était un peu compliqué parce que le 1er février, au Pays basque, il ne fait ni chaud ni beau », plaisante-t-il. Une cinquantaine de personnes sont présentes pour participer aux hommages rendus aux marins décédés des deux Etats et assister au dépôt d'une gerbe au pied de la stèle.
Six mois plus tard, le commandement de la marine de Saint-Sébastien ne réitère pas l'expérience. Il manque de moyens et de Zodiac pour emmener les personnalités sur l'île. Il appelle alors Bayonne à l'aide mais, à cette période de l'année, tout le monde est en congés. C'est d'ailleurs le cas de Christophe Merit. Le 1er août, le jour de la passation, l'actuel vice-roi français est en vacances. Du côté de Saint-Sébastien, cette année encore, on se contentera d'un e-mail.
Robin Richardot
 
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