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Création : 04/06/2009 à 13:36 Mise à jour : 30/11/2022 à 04:33

Trente ans après, Madrid condamne un colonel salvadorien pour le massacre de jésuites espagnols

Extradé en Espagne par les Etats-Unis en 2017, Inocente Orlando Montano a été condamné à une peine de cent trente-trois ans de prison au nom de la justice universelle.

Par Angeline Montoya et Sandrine Morel(Madrid, correspondante)
Publié le 05 février 2021 à 18h12 


Trente ans après, Madrid condamne un colonel salvadorien pour le massacre de jésuites espagnols
 
Inocente Orlando Montano, ancien vice-ministre du Salvador chargé de la sécurité, le 8 juin 2020 à Madrid.
KIKO HUESCA / AFP
Il aura fallu que s'écoulent plus de trente longues années et l'aboutissement d'une procédure complexe pour que justice soit enfin rendue. Mercredi 3 février, la Cour suprême espagnole a confirmé la peine de cent trente-trois ans de prison prononcée en première instance, en septembre 2020, contre l'ancien vice-ministre du Salvador chargé de la sécurité, le colonel Inocente Orlando Montano, par l'Audience nationale, le haut tribunal chargé des affaires de terrorisme et de crime organisé.
Aujourd'hui âgé de 77 ans, M. Montano a été reconnu coupable de l'assassinat de cinq jésuites espagnols, en 1989, dans le cadre de ce que la Cour a défini comme du « terrorisme d'Etat ». S'il est peu probable, au vu de son âge, qu'il purge l'intégralité des trente ans effectifs d'emprisonnement maximum, la sentence n'en reste pas moins « historique », comme l'ont souligné aussi bien les familles de victimes et l'Association pro-droits de l'homme d'Espagne (APDHE), qui s'étaient portées partie civile, que les organisations internationales défendant les principes de la « justice universelle ».
En 1989, le massacre des jésuites avait bouleversé l'opinion publique internationale et marqué un tournant dans la guerre civile qui faisait rage depuis dix ans au Salvador avant de prendre fin avec les accords de paix du 16 janvier 1992. La reconstitution des faits est « un récit d'horreur », a résumé la Cour. Dans la nuit du 15 au 16 novembre 1989, au sein de la résidence de l'université Centroamericana José-Simeon-Cañas (UCA), à San Salvador, cinq jésuites espagnols et un Salvadorien sont réveillés dans leur sommeil, ainsi que la cuisinière des lieux et sa fille, âgée de 15 ans, par « un commando composé d'une quarantaine de soldats, appartenant au bataillon d'élite des forces armées, entraînées par l'armée des Etats-Unis, fortement armés et équipés ». Sans la moindre capacité de se défendre, ils sont emmenés dans la cour, où les militaires leur ordonnent de s'allonger ventre à terre, avant de leur tirer dans la tête des salves de fusils d'assaut AK-47 et M-16.

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#Posté le jeudi 25 février 2021 16:52

ESPAGNE En Espagne, l'emprisonnement d'un rappeur pousse le gouvernement à réformer le code pénal

L'arrestation du rappeur Pablo Hasel, condamné à neuf mois de prison, agite le monde culturel espagnol. Alors que plusieurs manifestations ont eu lieu, le gouvernement a annoncé une révision des délits d'injure au roi et d'apologie du terrorisme.

Par Sandrine Morel(Madrid, correspondante)
Publié le 16 février 2021 à 19h56 - Mis à jour le 17 février 2021 à 10h27 
 
ESPAGNE En Espagne, l’emprisonnement d’un rappeur pousse le gouvernement à réformer le code pénal
 
 
Le rappeur catalan Pablo Hasel lors de son arrestation à l'université de Lérida, en Espagne, le 16 février 2021.
J. MARTIN / AFP
Retranché dans l'université de Lérida, en Catalogne, avec quelques dizaines de sympathisants, le rappeur espagnol Pau Rivadulla, plus connu sous son nom d'artiste Pablo Hasel, a finalement été arrêté par la police mardi 16 février dans la matinée, avant d'être conduit en prison. Il devra y purger une peine de neuf mois pour « injures à la Couronne et aux institutions de l'Etat » et « apologie du terrorisme ». En cause : le contenu de 64 tweets publiés entre 2014 et 2016 et d'une chanson sur l'ancien roi Juan Carlos.
« Les manifestations sont nécessaires mais insuffisantes, soutenons ceux qui ont été plus loin », disait-il dans l'un de ses messages, accompagné d'une photo d'une membre des Groupes de résistance antifasciste du 1er octobre (Grapo), une organisation terroriste d'extrême gauche sans activité depuis 2006. Dans d'autres tweets, il accusait les forces de l'ordre espagnoles de torture et d'assassinats, ou les traitait de « mercenaires de merde ». Quant au roi émérite, Juan Carlos, mis en cause dans des scandales financiers, il le qualifiait notamment de « poubelle mafieuse » et de « canaille ».
Déjà condamné en 2014 à deux ans de prison avec sursis pour d'autres textes, beaucoup plus agressifs, vantant l'organisation séparatiste basque ETA et souhaitant l'assassinat de plusieurs hommes politiques, il n'a, cette fois, pas échappé à la prison. En revanche, son cas a provoqué un vif débat et une forte mobilisation en Espagne, laquelle pourrait déboucher sur une réforme du code pénal.
 
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#Posté le jeudi 25 février 2021 16:48

LETTRE À FRANCO Bande Annonce (2020)

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Synopsis
Salamanque, été 1936. Lorsque éclate l'insurrection de la junte militaire menée par Francisco Franco, le prestigieux écrivain, philosophe et recteur de l'Université Miguel de Unamuno s'exprime en faveur du coup d'État, dont il pense qu'il ramènera l'ordre dans un pays dirigé par des socialistes et des communistes. Mais peu à peu, l'insurrection devient la guerre civile espagnole, et la république tend à être supprimée. Unamuno assiste impuissant aux meurtres de ses amis et collaborateurs. Progressivement, il remet en question sa position politique devant les dérives fascisantes des nationalistes. Quoique sans influence sur le cours de l'Histoire, l'occasion lui est donnée d'exprimer son complet désaccord lors d'un discours prononcé à l'occasion de la célébration du "Jour de la race". Il n'aura la vie sauve que grâce à Carmen Franco, qui lui prend la main et le fait sortir de l'amphithéâtre.
WIKIPEDIA .

Film vu le mercredi 17 février 2021 par Valérie FC sur OCS.
 
Le 1er février 2021 critique par Avoir à lire
Un grand film historique, qui montre dans un souffle tout autant romanesque que réaliste, la cruauté du régime militaire de Franco, obsédé par le purisme catholique et le conservatisme ultra-droitier.
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#Posté le mercredi 17 février 2021 15:57

Régionales en Catalogne : les indépendantistes renforcent leur majorité au parlement régional Plus de trois ans après une tentative de sécession avortée, les indépendantistes (ERC, JxC et CUP) ont dépassé pour la première fois les 50 %, renforçant leur majorité avec 74 sièges. Le Monde avec AFP et Reuters

 
Régionales en Catalogne : les indépendantistes renforcent leur majorité au parlement régional Plus de trois ans après une tentative de sécession avortée, les indépendantistes (ERC, JxC et CUP) ont dépassé pour la première fois les 50 %, renforçant leur majorité avec 74 sièges.  Le Monde avec AFP et Reuters
Le candidat d'ERC, Pere Aragones (à gauche) et le dirigeant d'ERC, Oriol Junqueras, célèbrent leur résultat aux élections catalanes, le 14 février à Barcelone.
JOSEP LAGO / AFP
 
Les différents partis indépendantistes de Catalogne ont, dimanche 14 février, remporté assez de sièges pour renforcer leur majorité au parlement régional.
Après le dépouillement de près de 100 % des bulletins, les indépendantistes ont dépassé pour la première fois les 50 % des voix lors d'un scrutin régional. Lors du dernier en 2017, ils avaient totalisé 47,5 %. Et avec 33 sièges pour Gauche Républicaine de Catalogne (ERC), 32 pour Ensemble pour la Catalogne (JxC) de l'ex-président régional Carles Puigdemont et 9 pour les radicaux de la CUP, ils renforcent leur majorité avec 74 sièges contre 70.
Toutefois, c'est l'ancien ministre de la santé, Salvador Illa, qui est arrivé en tête avec environ 23 % des voix et 33 sièges sur les 135 que compte le parlement régional. Envoyé à Barcelone par Pedro Sanchez pour écarter les indépendantistes du pouvoir qu'ils occupent depuis 2015, il a toutefois manqué son pari.
 
Cette année, la campagne électorale est restée largement centrée autour de la gestion de la crise sanitaire. La Catalogne est l'une des régions les plus touchées d'Espagne par le coronavirus, avec près de 10 000 morts.
Par crainte du virus, les électeurs se sont peu déplacés et l'abstention a atteint 53 % contre 79 % lors du précédent scrutin en 2017. Le gouvernement régional avait décidé de repousser le scrutin à fin mai en raison de la pandémie mais la justice est intervenue pour rétablir la date initiale.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Le président régional catalan destitué par la justice espagnole
Ces élections se sont déroulées un peu plus de trois ans après l'échec d'une tentative de sécession marquée par l'organisation, le 1er octobre 2017, d'un référendum d'autodétermination interdit par la justice et émaillé de violences policières dont les images avaient fait le tour du monde. Le chef du gouvernement catalan de l'époque, Carles Puigdemont, est toujours en exil en Belgique et neuf dirigeants indépendantistes ont été condamnés en 2019 à des peines allant de neuf à 13 ans de prison.
 
 
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#Posté le mercredi 17 février 2021 15:36

RESTAURANTS ET BARS OUVERTS: EN ESPAGNE, LES FRANÇAIS EN PROFITENT Céline Hussonnois-Alaya Le 05/02/2021 à 12:06

BFM 




Mute


Ils représentent un touriste sur cinq à Madrid et se réjouissent de l'ouverture des restaurants, musées et boîtes de nuit, fermés en France.

Comme un petit air de liberté. Dans certaines provinces d'Espagne, les musées, opéras, théâtres, cinémas, restaurants, bars et clubs sont toujours ouverts. Pour les touristes étrangers présents sur place, notamment les Français et Françaises, c'est une aubaine.
"Les gens veulent vivre normalement"
"C'est la vraie vie, ça nous manque vraiment en France", confie avec bonheur l'une d'entre elles à BFMTV, en vacances à Madrid. "Plus de bière, plus de liberté", s'en amuse un autre. Les Français sont ainsi particulièrement présents au pays de Cervantes et représentent jusqu'à un touriste sur cinq dans la capitale espagnole. "Ils consomment pas mal de bière et de café", confie un restaurateur à BFMTV.



RESTAURANTS ET BARS OUVERTS: EN ESPAGNE, LES FRANÇAIS EN PROFITENT Céline Hussonnois-Alaya Le 05/02/2021 à 12:06
LCI 
 
Si un couvre-feu est instauré (22 heures ou 23 heures selon les régions), chaque province est libre de prendre ou non des mesures supplémentaires. Certaines ont ainsi fermé bars et restaurants, d'autres limité leurs plages horaires d'ouvertures et d'autres encore ont ordonné une fermeture plus tôt le soir, notamment 21 heures.
Ce qui permet donc aux touristes de se restaurer ou de boire un verre, en terrasse comme à l'intérieur, chose qui n'est plus possible en France. Dans les boîtes de nuit, les clients doivent rester assis à leur table et n'ont pas le droit de danser. Ce qui n'est pas simple à faire appliquer, concède une serveuse.
"C'est difficile à cause de l'ambiance, de la musique", concède-t-elle à BFMTV. "Les gens veulent vivre normalement."Le PIB en chute de 11%
Avec un PIB en chute libre - moins 11% l'année dernière - certaines provinces ont fait le choix de privilégier l'économie et de faire revenir les touristes, au risque de voir le taux d'incidence exploser - 796 cas pour 100.000 personnes. Dans la capitale madrilène, les nouvelles contaminations quotidiennes sont quatre fois supérieures à celles de Paris.
Après avoir décrété au printemps 2020 l'un des confinements les plus stricts au monde, au point qu'il avait traumatisé la population, le gouvernement espagnol se refuse pour le moment à imposer de nouveau une telle mesure. Il a cependant annoncé en début de semaine une stricte limitation des vols en provenance d'Afrique du sud et du Brésil en raison des craintes liées aux variants du coronavirus détectés dans ces deux pays.
SUR LE MÊME SUJETThéâtres, cinémas, concerts: l'exception culturelle espagnole en pleine pandémie
L'Espagne, l'un des pays d'Europe les plus touchés par la pandémie, a franchi la barre des 60.000 morts dus au coronavirus.

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#Posté le lundi 15 février 2021 15:52

Espagne : Hôtel Castellana, destins croisés dans l'Espagne de Franco

« Hôtel Castellana, destins croisés dans l'Espagne de Franco » apporte un éclairage saisissant sur la vie en Espagne sous le régime de Franco. Un jeune texan débarque dans ce riche hôtel de Madrid où travaille l'énigmatique Ana...
Dans ce roman historique, Ruta Sepetys apporte un éclairage passionnant autant qu'effrayant de l'Espagne sous la dictature de Franco. Les 3 protagonistes principaux prennent tour à tour la parole pour raconter leur vision de l'époque.
Daniel Matheson, 18 ans, fils d'un richissime texan accompagne ses parents en Espagne car son père va signer un contrat historique avec Franco dans le secteur pétrolier. Loin des mondanités, Daniel veut comprendre le monde qui l'entoure, et vivre de sa passion : le photojournalisme.
Ana, est femme de chambre à l'hôtel Castellana. Elle a la responsabilité de la famille Matheson, devant répondre à leurs moindres envies. Peu à peu, elle noue une relation singulière avec Daniel, et lui ouvre progressivement les portes de son monde, empli de secrets.
Puri, est la cousine d'Ana. Fille unique, elle est religieuse dans un orphelinat. Au fil du roman, elle s'interroge sur le devenir des enfants, les méthodes d'adoption... et sa propre histoire.
 
Espagne : Hôtel Castellana, destins croisés dans l’Espagne de Franco
 
Le roman vous entraîne bien au-delà de la romance qui va naître entre Dan et Ana. Il offre une galerie de portraits et de points de vue différents sur la vie en Espagne sous Franco. Vous y croiserez un matador au destin brisé, des enfants volés, un journaliste américain bienveillant, de riches américains loin des préoccupations quotidiennes des Espagnols...
Ce roman se vit comme un huis-clos. La dictature, la pauvreté, la peur omniprésente, le silence, la Guardia Civil, les secrets, les délations.... Durant 36 ans ! Et le roman se termine sur une note d'espoir. Un retour en Espagne 18 ans plus tard montre à Daniel que le pays se modernise, même si les silences sont encore lourds et assourdissants.
Présentation du roman par l'éditeur : Hôtel Castellana
« Madrid, été 1957.Passionné de photographie, Daniel Matheson, 18 ans, découvre l'Espagne à travers l'objectif de son appareil. Il loge au quartier général de la haute société américaine : l'hôtel Castellana, où travaille la mystérieuse Ana Torres Moreno. À mesure qu'ils se rapprochent, Ana lui révèle un pays où la dictature fait régner la peur et l'oppression, hanté par de terribles secrets... »
Pourquoi faut-il lire Hôtel Castellana, destins croisés dans l'Espagne de Franco ?
Pour connaître l'histoire d'un pays, certains me diront qu'il est préférable de regarder des documentaires, de se plonger dans les archives, de lire un livre d'Histoire. Mais pour une approche plus en nuances et une certaine distanciation, je préfère débuter par un roman historique. Peut-être est-ce que la fiction permet de « digérer » plus facilement les horreurs qu'elle raconte parfois ?
Pour écrire ce roman historique, Ruta Sepetys a enquêté durant 8 ans. Elle s'est nourrie tant de documents officiels que de témoignages personnels, d'avis d'experts sur l'Histoire, les relations internationales, ou encore les journaux de l'époque, etc. Il en ressort un roman vulgarisant l'Histoire de la dictature de Franco non pas d'un point de vue politique ou stratégique... mais vue par la population.
Suite à la lecture de ce roman, j'ai envie de me documenter sur ces enfants volés, largement évoqués... et j'ai aussi envie de décrocher mon téléphone pour en discuter avec ma tante installée en Espagne depuis plus de 50 ans !
Et peut-être, que comme moi, vous aurez du mal à quitter Daniel, Ana, Julia, Rafa, Miguel, Carlitos, Puri, Fuga et le quartier de Vallecas à Madrid.
Je vous recommande vivement ce roman avant un voyage en Espagne. C'est un récit ancré dans le réel, que les ados comme les adultes dévoreront rapidement (près de 600 pages tout de même !).
Sandrine Damie
 
 
Hôtel Castellana, destins croisés dans l'Espagne de Franco 
Titre original : the fountains of silence
De Ruta Sepetys
Faustina Fiore (Traduction)
Gallimard Jeunesse
19,00 ¤ (broché) – 13,00 ¤ (format Kindle)
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#Posté le lundi 15 février 2021 15:43

Modifié le mercredi 17 février 2021 15:33

Politique.Toute l'Espagne scrute les élections catalanes EUROPE POLITIQUE ESPAGNE COURRIER INTERNATIONAL - PARIS

Près de 5,6 millions d'électeurs catalans sont appelés à élire un nouveau Parlement ce dimanche 14 février. Trois ans et demi après la tentative avortée de sécession avec l'Espagne, et en pleine pandémie de Covid-19, le résultat du scrutin conditionnera en grande partie la politique nationale, analyse la presse espagnole.





Les élections législatives en Catalogne version Covid vont-elles accoucher d'un Parlement à majorité indépendantiste ou plutôt ouvert au dialogue avec Madrid ? La question reste en suspens alors que 5,6 millions d'électeurs catalans sont appelés aux urnes dimanche 14 février afin d'élire leurs députés pour quatre ans.
Le scrutin le plus attendu de l'année en Espagne va influencer en grande partie l'avenir politique du pays. Si les partis indépendantistes obtiennent la majorité des sièges, la tentation sécessionniste sera ravivée, trois ans et demi après le référendum illégal d'indépendance de l'automne 2017. Ce dernier a ouvert la voie à une crise politique et sociale majeure au sein de la région autonome.
Les sondages ne donnent pas pour l'instant la majorité aux indépendantistes, souligne El País, le grand quotidien national de centre gauche :
Les citoyens ont compris que la grande promesse [d'indépendance] n'était pas au coin de la rue et qu'il fallait accorder la priorité aux problèmes actuels.”
Principale urgence : la crise sanitaire. La Catalogne est l'une des régions les plus touchées par le virus en Espagne, avec 540 000 cas confirmés et un peu moins de 9 800 morts depuis mars dernier – contre 3 millions de cas et 64 200 morts dans toute l'Espagne.
 
Politique.Toute l’Espagne scrute les élections catalanes EUROPE POLITIQUE ESPAGNE COURRIER INTERNATIONAL - PARIS
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#Posté le lundi 15 février 2021 15:38

Espagne: les élections régionales en Catalogne maintenues le 14 février malgré la pandémie

Le premier ministre Pedro Sanchez. HANDOUT / AFP LE FIGARO 



Les élections régionales en Catalogne (nord-est de l'Espagne) se tiendront bien le 14 février, la justice ayant invalidé vendredi un décret du gouvernement régional qui les avait reportées à fin mai en raison de la pandémie.
http://www.w3.org/2000/svg" width="24" height="16" viewBox="0 0 24 24" class="fig-body-link__svg fig-body-link__svg--arrow">À LIRE AUSSI :Espagne : la Catalogne rouvre ses bars, ses restaurants et ses cinémas
Les autorités régionales indépendantistes, en accord avec la plus grande partie de l'opposition, avaient décidé mi-janvier de reporter ces élections au 30 mai en raison de la crise sanitaire, l'Espagne étant aux prises avec la troisième vague de l'épidémie de Covid-19. Mais à la suite d'un recours déposé par diverses associations, la justice avait, dans un premier temps, décidé d'annuler le décret gouvernemental, et donc de maintenir les élections le 14 février. Le Tribunal supérieur de Justice (TSJ) de Catalogne avait toutefois indiqué qu'il réexaminerait la question et ferait connaître sa décision finale au plus tard le 8 février, soit six jours avant le scrutin. En dépit de cette incertitude sur la tenue du scrutin, les différents partis politiques avaient lancé jeudi leur campagne.
Vendredi, le TSJ a annoncé qu'il confirmait sa décision d'«annuler le décret qui reportait les élections prévues le 14 février». Le principal enjeu de l'élection est de savoir si le parti socialiste du premier ministre Pedro Sanchez parviendra à déloger les indépendantistes au pouvoir dans cette région, qui fut le théâtre d'une tentative de sécession en 2017. Dans ce but, l'ancien ministre socialiste de la Santé, le Catalan Salvador Illa, a quitté ses fonctions en pleine troisième vague de la pandémie pour conduire les socialistes à la bataille face aux deux grands partis séparatistes: «Ensemble pour la Catalogne» et «Gauche républicaine de Catalogne» (ERC). Un sondage publié vendredi par l'institut d'opinion du gouvernement catalan place en tête des intentions de vote le parti ERC, formation modérée alliée de Pedro Sánchez à Madrid, suivi par «Ensemble pour la Catalogne» et les socialistes.
Albert GEA 
 
Espagne: les élections régionales en Catalogne maintenues le 14 février malgré la pandémie
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#Posté le lundi 15 février 2021 15:22

En Espagne, le cimetière des night-clubs Par Sandrine Morel

EN IMAGES
 
Dans les stations balnéaires du bord méditerranéen, des centaines de boîtes de nuit sont fermées à cause du Covid-19. Elles ont été saisies en plein jour par le photographe François Prost, portes closes, néons et musique en berne. Tels des mausolées.
D'immenses carcasses de béton vides, à l'architecture rétro, aux gigantesques néons éteints s'affichent au c½ur de stations balnéaires désertées. Les discothèques photographiées par François Prost, de jour, fin octobre le long de la côte méditerranéenne espagnole, témoignent d'un monde décadent, entré en hibernation durant la pandémie.
Depuis 2011, dans le cadre de son travail au long cours baptisé After Party, le photographe lyonnais a posé son regard sur les boîtes de nuit de la France et des Etats-Unis, avant de s'intéresser à présent à celles d'Espagne. « En général, vus de nuit, ces lieux de fête, de drague ou de bagarre apparaissent subversifs. Ils sont souvent aussi évocateurs de moments marquants de notre jeunesse. Mais à la lumière crue du soleil, ce ne sont que des bâtiments banals, souvent kitsch, souligne-t-il. En Espagne, ce qui m'a surpris, c'est qu'ils sont plus souvent intégrés dans le paysage urbain, alors qu'en France ils se situent principalement en périphérie des villes. Et qu'ils témoignent aussi de l'urbanisme sauvage de la côte méditerranéenne espagnole. »
Phase de déclin
Ses clichés évoquent ainsi la fragilité d'un modèle, celui qui s'est développé à la fin de la dictature franquiste, dans les années 1970 et 1980, quand le pays est devenu synonyme de « fiesta » et que le boom du tourisme de masse a déversé sur les plages espagnoles une classe moyenne européenne qui n'avait que ce mot à la bouche. Les Espagnols y ont participé, portés par un sentiment de libération, un besoin de défoulement et un déchaînement des m½urs symbolisé par le vaste mouvement culturel et populaire de la Movida dans les années 1980. Puis est arrivée une phase de déclin.
 
Photo le MONDE
 
En Espagne, le cimetière des night-clubs Par Sandrine Morel
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#Posté le lundi 15 février 2021 15:10

Ses archives (498)

  • Bonne année 2021 ! lun. 15 février 2021
  • Les traditions de Noël en Espagne lun. 14 décembre 2020
  • EXPOSITION 2021 lun. 14 décembre 2020
  • Voyage en Espagne lun. 14 décembre 2020
  • Découvrez ce très beau site sur la Catalogne, avant le confinement comme on la  retrouvera après l'épidémie... ven. 30 octobre 2020
  • En Espagne, fin de la vie de château pour les descendants de Franco Le manoir Pazo de Meirás, en Galice, que le dictateur avait reçu en « cadeau » et dont ses héritiers ont largement profité, a été jugé propriété de l’Etat. Un verdict unanimement salué par la classe politique.  Par Sandrine Morel Publié le 11 septembre 2020 à 15h10 - Mis à jour le 14 septembre 2020 à 05h37 ven. 30 octobre 2020
  • Le président régional catalan destitué par la justice espagnole La Cour suprême a confirmé la condamnation de l’indépendantiste Quim Torra. Le tribunal supérieur de justice de Catalogne, chargé de l’application de la peine, l’a immédiatement relevé de ses fonctions.  Par Sandrine Morel Publié le 29 septembre 2020 à 10h28 - Mis à jour le 29 septembre 2020 à 17h57 ven. 30 octobre 2020
  • En Espagne, Madrid et une quarantaine de villes du pays sont fermées pour limiter la propagation du Covid-19 Plus de 600 communes espagnoles ont dû appliquer des mesures de restriction des activités commerciales et des réunions sociales pour freiner la seconde vague de l’épidémie.  Par Sandrine Morel Publié le 13 octobre 2020 à 10h50 - Mis à jour le 14 octobre 2020 à 11h09 ven. 30 octobre 2020
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